Où suis-je?

Bienvenue sur ce blog consacré à un peu tout et n'importe quoi, mais où il sera principalement question de: Harry Potter et la fantasy en général, de romans d'aventures maritimes, de littérature, de séries télés (majoritairement des productions britanniques, mais pas que) et de cinéma!


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The Crown, saison 2 épisode 7: Matrimonium
Margaret reçoit des nouvelles de Peter Townsend, et cela l'incite à passer à la vitesse supérieure avec Antony Armstrong-Jones. Ses projets sont cependant une nouvelle fois contrariés.

Après deux épisodes aux thèmes fort intéressants, on renoue avec les déboires sentimentaux des membres de la famille royale, l'une d'elle en l'occurrence, cette chère princesse Margaret. Compte-tenu du fait que l'épisode dure une bonne heure et se concentre quasi-exclusivement là-dessus, il est passé étonnamment vite.

La scène pré-générique du précédent épisode nous avait fait la grâce de ramener John Lithgow et Jared Harris, celle de Matrimonium nous offre un autre revenant, Ben Miles. Peter Townsend, toujours à Bruxelles, se réveille l’œil vif malgré les bouteilles de champagne vides et les bouquets de fleurs qui laissent deviner un ledemain de fête.

Outre-Manche, ce n'est pas la même ambiance, puisque Margaret a fini sa nuit qu'on imagine courte sans même se donner la peine de se déshabiller, et émerge en mode gueule de bois, ce qui devient une fâcheuse habitude.

Sa journée ne s'améliore pas quand elle découvre une lettre de son cher Peter, qui lui fait part de son intention de se marier avec une charmante jeune femme, sa secrétaire, qu'il connait depuis quelques années maintenant. Lui et Margaret s'étaient certes jurés de ne jamais se marier avec qui que ce soit, mais ainsi va la vie.

La bientôt deuxième femme de Peter Townsend n'a que 19 ans, Margaret avait 21 ans quand elle a manifesté son intention d'épouser l'ancien écuyer de son père mais cela faisait déjà un moment que la romance durait au nez et à la barbe de tout le monde, je veux bien qu'il ait eu une réputation de gentleman, mais sur le coup je le trouve très limite le père Townsend, quand même.

Sans surprise, Margaret prend mal la missive et envoie tout valdinguer. D'accord, il y a trois épisodes, elle était elle-même prête à revenir sur le même serment et épouser Billy Wallace. Que ce soit par dépit et non par amour ne change pas le fait que si celui qui a failli être son fiancé ne s'était pas tiré une balle dans le pied, elle est passée près d'être la première à briser la promesse, mais elle ne semble pas du tout s'en souvenir. Le monde est injuste et elle en est la victime, point.

Elle explique la situation à Tony, dans une galerie d'art où il expose ses dernières œuvres, mais il n'est pas extrêmement compatissant. Il pensait que Margaret en avait fini avec les idées de mariage et qu'elle détestait les conventions autant que lui... Margaret argue qu'elle compte néanmoins se marier, mais de façon fort peu conventionnelle. Sous-entendu, en commençant par le demander en mariage elle-même plutôt qu'attendre que l'homme fasse le premier pas.

Comme tout le monde se ligue contre elle, Tony a le front de ne pas accepter la demande, aussi la princesse le plante alors que le vernissage de l'exposition est sur le point de commencer, en sachant pertinemment que la majeure partie des journalistes se sont déplacés pour elle et non pour les œuvres du photographe.

Margaret rentre chez elle sous le regard de Tony, poursuivie par une meute de paparazzi (toujours ce côté proto-Lady Di).

Un peu plus tard, Tony dîne en ville avec sa mère, incarnée par Anna Chancellor. Anna Chancellor est typiquement le genre d'actrices que je suis toujours heureuse de croiser, elle devrait être absolument dans tout, aucun risque d'overdose avec elle.

On découvre que les relations mère-fils sont compliqués. Tony veut mettre en avant le succès critique de son exposition, elle ne s'y est pas rendue car elle préférait aller voir le demi-frère de Tony défiler avec son régiment des Irish Guards, et de toutes les critiques publiées dans les journaux, elle n'a retenu que la seule négative.

Histoire de briller, Tony amène sur le tapis la seule chose que son demi-frère n'a pas réussi à accomplir et qui pourrait le rendre intéressant aux yeux de sa mère, le fait qu'il se tape la petite sœur de la reine. Ou plutôt, se tapait puisqu'ils se sont disputés pour une histoire de demande en mariage. La mère de Tony en déduit immédiatement qu'il a demandé sa main à Margaret mais qu'elle l'a envoyé paître. Tony dissipe immédiatement le malentendu.

Malheureusement, maman Tony n'est pas le moins du monde en admiration devant l'audace de son fils, suffisamment indépendant et original pour refuser d'intégrer la famille royale. Elle le trouve juste totalement idiot d'avoir laissé passer sa chance.

Retour à l'atelier et au travail, avec pour modèle une belle danseuse mais Tony n'est pas vraiment d'humeur à la portraiturer, il y a quelque chose qui le chiffonne.

S'ensuit la première scène torride de toute la série, puisque Tony et la danseuse (dont on apprendra plus tard qu'elle s'appelle Jacqui Chan) s'envoient en l'air un peu partout dans l'atelier dans des positions diverses et variées. Après quoi Tony lui dit qu'il a quelque chose à lui annoncer, ce qui lui vaut de se retrouver aussitôt seul.

Il ne le reste pas longtemps puisqu'on le retrouve aussitôt après avec un couple d'amis et bien plus encore, les Fry. Apparemment Peter Morgan a réalisé que cela faisait seize épisodes sans aucune scènes de sexe, a décidé de tout caser dans celui-ci, et a accordé à Matthew Goode un monopole.

Tony regrette d'avoir refusé la proposition de Margaret et finalement entend bien l'épouser. C'est l'occasion de découvrir que lui et ses comparses se fichent un peu de la princesse dans son dos, mais qu'importe, Tony trouve qu'il contribue à l'améliorer. De toute manière, il a d'autres raisons de l'épouser que ses qualités et ses défauts.

Margaret, qui n'a pas les oreilles qui sifflent malgré ce qui se dit sur elle, est de sortie alors que sa mère est plantée devant la télé avec un verre de whisky à la main, fascinée par un documentaire sur les otaries (on devrait faire un jeu à boire des scènes où la Queen Mum picole en regardant des âneries à la télé).

Alors qu'elle est sur le point de s'engouffrer dans sa voiture avec chauffeur, elle aperçoit Tony qui l'attend sur sa moto (et qui fait tout pour qu'elle le remarque, en faisant rugir le moteur).

Point n'est besoin d'échanger un mot, la réconciliation est actée et ils partent aussitôt pour l'atelier de Tony, afin de, devinez quoi?

Sérieusement, on est au tiers de l'épisode et Matthew Goode s'est dessapé trois fois. Mr. Fanservice, indeed.

Une fois l'affaire finie, c'est au tour de Tony de faire sa demande en mariage, avec une bague de fiançailles cachée au milieu de fragments de clichés et de pellicules, parce que tout de même, c'est un artiste, un original.

Margaret accepte, mais chacun fait promettre à l'autre quelque chose: pour Tony, Margaret ne doit jamais l'ennuyer. Pour Margaret, Tony de doit jamais la faire souffrir.

Margaret informe donc Elizabeth de son intention d'épouser Tony, et cette fois-ci, pas d'entourloupe: sa sœur doit lui donner son assentiment clair et ferme, et pas question qu'elle revienne dessus plus tard. Ce qu'elle obtient, mais Margaret a une autre exigence: l'annonce officielle devra être faite dans les plus brefs délais, afin de précéder le mariage de Peter Townsend et de sa jeunesse de 19 ans.

Elizabeth ne s'y oppose pas, mais elle commence à comprendre que ce mariage ne se fait peut-être pas pour les bonnes raisons...

En ce qui concerne Tony, c'est encore moins prometteur, puisque quand il téléphone à sa mère pour annoncer l'heureuse nouvelle, le majordome l'informe que celle-ci est indisponible alors qu'on peut clairement voir qu'elle ne l'est pas du tout.

Margaret vient rapidement le consoler, et après la partie de jambes en l'air, le couple commence à échanger des idées pour la cérémonie: Westminster Abbey, ou pas Westminster Abbey? Pour la princesse, du moment qu'elle éclipse Elizabeth, tout lui va.

Elizabeth, justement, met Michael Adeane au courant du prochain mariage de sa sœur, et on voit bien que l'idée qu'une princesse épouse un photographe n'est pas du goût du secrétaire privé, mais la reine lui fait bien comprendre que c'est comme ça et pas autrement. Hors de question d'avoir un remake de l'affaire Townsend. Adeane s'incline, mais fait remarquer que, oh, pour le mariage, il ne dit rien, mais pour l'annonce officielle, il y a un hic.

Car voilà, on l'apprend en même temps que Margaret, Elizabeth attend un heureux événement. Et quand la reine attend un heureux événement, on suspend toutes les annonces officielles jusqu'à ce que l'heureux événement se produise. Autant le dire, Margaret a du mal à présenter ses félicitations devant un énième délai, et pour le coup je la comprend, en tant que spectatrice, c'est redondant, alors à vivre... Néanmoins, Elizabeth essaie de faire une fleur à Margaret: on organisera une fête en l'honneur du jeune couple, entre amis, c'est plus qu'elle n'en a fait pour Townsend.

Ce qui n'est pas compliqué, estime Margaret, qui n'est pas d'humeur à la gratitude, vu qu'Elizabeth n'a jamais rien fait pour Townsend. Ouch.

Tout en suivant vaguement la soirée électorale à la télévision (que les conservateurs sont en train de remporter sans trop d'effort, apparemment), Tony et les Fry discutent des perspectives d'avenir du premier. D'après lui, on va lui offrir un titre de comte histoire qu'il soit digne d'une princesse, pour un duché il n'y croit guère... Mais cela lui permettrait de passer devant son demi-frère le vicomte en terme de préséance.

Et d'évoquer son enfance quand pauvre petit souffrant de la polio, il devait voyager en troisième classe tandis que son demi-frère était en deuxième et son beau-père en première.

Ensuite on a une petite scène entre Elizabeth qui commence à être lourdement enceinte et Philip, qui n'apporte pas grand chose mais est plutôt mignonne vu que ça fait un bout de temps qu'on ne les avait pas vu en petit couple normal et sans histoires.

Le soir est venu pour la petite fête en l'honneur de Margaret et Tony, et la princesse s'emploie à présenter son futur mari à toute une galerie de Lord et Lady sans grand intérêt.

Les invités de Tony détonnent nettement plus, avec Jeremy Fry qui s'amuse de la déco devant sa femme et un personnage joué par Patrick Warner, que j'ai vu l'été dernier dans The Play that Goes Wrong et c'était très drôle. Il incarne Peter Cook, acteur comique qui fut très populaire en Angleterre (au hasard, pour situer, l'évêque dans la scène du mariage à la fin de Princess Bride, c'était lui. Le monde est petit).

Elizabeth observe tout cela de loin sans mot dire, mais l'on sent bien qu'elle est au minimum dubitative devant cette compagnie inhabituellement bigarrée.

Tony s'éloigne un temps de Margaret pour s'entretenir avec Mrs Fry, qui a l'air soucieuse, et pour cause: elle est enceinte et d'après ses calculs, il y a 99% de chances que ce soit de Tony.

Toujours de son poste d'observation et en suivant vaguement la conversation entre sa mère et une dame de la haute, Elizabeth les repère et comprend vite qu'il y a anguille sous roche, même si elle est trop loin pour entendre ce qui se dit.

Après quoi, elle doit se farcir les récriminations de Philip sur l'évolution des mœurs: alors comme ça, lui, quand il a voulu épouser Elizabeth, on l'a traité comme un intrus et un moins que rien alors que tout de même, il descend de la reine Victoria, il a eu un grand-père roi! Et là, c'est magique, on invite les saltimbanques dans la famille!

Entre ça et le futur prince Andrew qui commence à peser son poids, Elizabeth II se passe donc de faire la chenille avec le reste des convives.

Elle alpague Adeane, qui a l'air d'être tout aussi heureux qu'elle d'être là, et lui demande si par hasard, il ne pourrait pas se renseigner sur Tony Armstrong-Jones et son entourage (je doute qu'en réalité ils ne l'aient pas fait d'entrée de jeu, mais bon...).

Adeane mène donc sa petite enquête, et apporte ses conclusions à la reine en compagnie de Tommy Lascelles. Ce n'est pas moi qui me plaindrait d'une scène supplémentaire avec Lascelles, mais enfin, il serait peut-être temps qu'Adeane coupe le cordon, à ce stade il va recourir à Tommy jusqu'à ce qu'il soit lui-même à la retraite, après quoi il va continuer de lui demander de l'aide pour gérer sa pension.

Le CV de Tony Armstrong-Jones est lourd, et les deux secrétaires balancent sa liaison avec Jacqui Chan et avec les Fry (moment amusant où ils essaient de faire comprendre à la reine, qui n'est pas née de la dernière pluie, que le bonhomme ne couche pas uniquement avec des femmes).

Quand elle entend que Mrs Fry est enceinte, probablement des œuvres de son futur beau-frère, Elizabeth demande à voir une photo de la dame, et ses soupçons du soir de la fête sont confirmés.

Une contrariété qui est apparemment la goutte d'eau qui provoque l'accouchement.

Du coup, pendant que la reine est en plein travail, Philip dépense son énergie au squash.

Le gouvernement, lui, se fend d'une petite prière pour la mère et le bébé.

Enfin, Elizabeth donne naissance à un nouveau personnage dans la série qui défraiera un peu la chronique dans quelques saisons. Le prince Andrew est dans la place.

Margaret rend visite à Elizabeth pour voir le bambin, et les sœurs commencent à papoter choix de prénoms: Louis faisait un peu trop étranger (évidemment, je ne pense pas qu'au moment de l'écriture de l'épisode, Morgan aurait parié sur celui-ci pour le troisième enfant de Kate et William), George serait un peu écrasant car il aurait eu du mal à faire oublier son grand-père (qui s'appelait Albert mais je suppose qu'Elizabeth avait en tête l'identité que le peuple aura retenu), donc elle a opté pour Andrew en hommage au père de Philip, qui n'avait pourtant pas l'air d'être quelqu'un de bien intéressant, on aura l'occasion d'en reparler.

La princesse n'est cependant pas venue uniquement pour voir la frimousse d'Andrew, mais pour remettre son cas sur le tapis.

Elizabeth était devant un choix cornélien: laisser sa sœur épouser Tony sans rien lui dire de la vie privée mouvementée de celui-ci, tout lui déballer ou prendre sur elle de mettre un terme à l'idylle au prétexte que le bonhomme n'était pas très fiable. Elle a tranché et assure Margaret qu'elle a toujours sa bénédiction et que les fiançailles seront enfin annoncées officiellement.

Elle est tout de même inquiète et du coup fait une dernière tentative en demandant si Margaret est bien certaine de se marier pour les bonnes raisons, question fort mal reçue.

Tony n'est pas un moyen pour Margaret de prendre sa revanche, elle l'aime, notamment parce qu'il la fait se sentir comme une femme, libre et indépendante de la Cour et de toute la pesanteur qui va avec, qu'il lui permet de rompre avec tout cela.

Elizabeth estime que Margaret s'illusionne si elle s'imagine rompre avec quoi que ce soit, ses titres, ses rangs, ses privilèges, pour une seule raison qui n'a rien à voir avec Tony: au fond, Margaret y est beaucoup trop attachée, bien plus qu'Elizabeth qui n'a jamais recherché l'attention et aurait préféré disparaître.

Je suis contente que ce point soit abordé, car Margaret a beau avoir une image de rebelle qui fait fi des conventions (ce qui n'était pas faux) elle n'était en effet pas la dernière pour mettre ses liens de parentés en avant (il valait mieux ne pas lui dire "votre père" ou "votre sœur", sous peine de s'entendre vertement répondre "vous voulez dire Sa Majesté le roi/la reine", par exemple). En cela je trouve qu'elle se rapproche pas mal d'Edward VIII en ce sens que oui, tout le protocole et les contraintes les étouffaient et qu'ils n'étaient pas fait pour vivre avec mais qu'en même temps, leur rébellion n'allait pas si loin pour qu'ils renoncent totalement à leurs privilèges pour obtenir la liberté qu'ils clamaient souhaiter. Margaret est cependant loin d'apprécier ce petit rappel et rétorque donc à sa sœur qu'elle peut s'estimer heureuse: elle a réussi l'exploit de devenir totalement invisible tout en portant une couronne.

Après cet échange d’aménités, c'est le grand jour et tout le monde se prépare pour le mariage, à commencer par la princesse Anne, que j'ai hâte de voir faire autre chose que de la figuration. J'imagine qu'on ne fera pas l'impasse sur sa tentative d'enlèvement, la scène vaudrait son pesant de cacahuètes.

Charles a aussi bien grandi mais il mange encore son pain blanc, ce qui ne va plus durer bien longtemps.

Adeane a l'air positivement ravi de devoir cirer ses chaussures pour l'occasion...

... Tout comme Tommy Lascelles qui se retiendra de hurler "je m'y oppose!" dans la nef au moment crucial, au bout d'un moment à quoi bon se démener pour protéger ces gens s'ils n'y mettent pas du leur.

Du côté des invités du marié, ce n'est pas la liesse non plus, Jacqui Chan a accepté la situation, bien obligée, mais ce n'est pas pour autant qu'elle va s'en réjouir.

Pas plus que Mrs Fry enceinte jusqu'aux yeux.

Au moins on ne pourra pas accuser Elizabeth d'essayer d'éclipser sa sœur le jour de son mariage, plus tarte que son look, tu meurs.

George VI ayant une dispense de son médecin-légiste, Philip accompagnera Margaret à l'autel. Il lui assure que son père serait très fier d'elle. Il serait plus probablement mort d'inquiétude, mais Philip dit quelque chose de gentil, alors ne décourageons pas ses efforts.

La Queen Mum est la dernière à partir. Elle aura tenu sa langue pendant tout l'épisode sur cette union, ce qui est fort étonnant de sa part, mais à en juger par son tic nerveux quand elle jette un dernier coup d’œil à la télévision qui couvre l'événement, elle espérait certainement autre chose pour sa cadette.

En route pour Westminster Abbey, Tony tente une nouvelle fois de gagner l'approbation de sa mère: il n'a pas si mal réussi, finalement, lui, le vilain petit canard? Ce n'est pas son demi-frère qui épouse une princesse, pas vrai?

"Oh, mon chéri, j'espère que tu n'as pas fait tout ça pour moi!" s'entend-il répondre et ce doit être une des phrases les plus cruelles de la série mine de rien.

Alors que Margaret est radieuse pendant tout le trajet, Tony, lui, a déjà conscience qu'il est mal embarqué.

Pas d'images d'archives pour conclure cette fois-ci, mais de l'audio puisque l'épisode se clôt sur des vues de la cathédrale, alors qu'on entend l'authentique échange de vœux entre Margaret et Antony Armstrong-Jones.

Matrimonium, ou Chronique d'un Désastre Annoncé. Encore un épisode bien écrit mais qui me laisse avec un sentiment de "bon, ça, c'est fait". Au moins on devrait en avoir fini avec toutes les scènes où Margaret présente une requête puis balance une vacherie parce que sa monarque de sœur ne peut pas lui livrer sur un plateau exactement ce qu'elle souhaite. Enfin, là je suis peut-être optimiste...

Le Point corgis: nada.
potion préparée par Zakath Nath, le Jeudi 11 Octobre 2018, 21:51bouillonnant dans le chaudron "Séries tv".