Où suis-je?

Bienvenue sur ce blog consacré à un peu tout et n'importe quoi, mais où il sera principalement question de: Harry Potter et la fantasy en général, de romans d'aventures maritimes, de littérature, de séries télés (majoritairement des productions britanniques, mais pas que) et de cinéma!


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Doctor Who, saison 7, épisode 2: Dinosaurs on a spaceship
Le Docteur vient à peine d'aider Nefertiti à repousser une invasion de sauterelles géantes extra-terrestres qu'il est embarqué dans une nouvelle aventure, dans laquelle la reine d'Égypte s'invite. Un vaissea spatial se dirige vers la Terre et risque d'être abattu si le Docteur n'arrive pas à découvrir de quoi il s'agit et le détourner de sa course. Avec l'ajout au groupe d'un chasseur de fauve, des Ponds et du père de Rory, on peut commencer à s'attaquer au problème.

Des dinosaures dans l'espace, Nefertiti, Rupert Graves, David Bradley et Mark Williams, et un gros budget, sur le papier, c'est Byzance. Mais j'abordais l'épisode avec méfiance pour cause de Chris Chibnall, responsable de 42, qui m'avait ennuyée (tout le monde court dans tous les sens mais ça n'était pas passionnant pour autant, faute d'attachement aux personnages, et le côté huis-clos/possession, on l'avait eu en mieux la saison d'avant) et du dyptique plan-plan sur les Siluriens (je jette un voile pudique sur Torchwood et Camelot). Et finalement, l'ensemble se classe dans les épisodes fun mais auxquels il manque quelque chose pour être mémorable.

La constitution du groupe est assez artificielle, même si au final, Nefertiti devient un enjeu, et avec le père de Rory on retrouve l'humain ordinaire découvrant un univers qui le dépasse, et Mark Williams fait fonctionner ça à merveille. Bon, Riddell est vraiment dispensable, mais c'est Rupert Graves alors ça ne peut pas être un mauvais point. En fait, tous les éléments séparément sont cool, mais on est un peu trop dans la compilation nawak qui amuse mais qui manque de tension (malgré le côté compte-à-rebourd, otage et attaque de raptors).

Ce côté compilation se retrouve dans la façon dont Eleven laisse le méchant à son sort. Ce n'est pas incohérent avec le personnage: il a toujours été du genre à avertir le bad-guy que ce qu'il fait, c'est pas bien, et si celui-ci persévère, tant pis pour lui. On l'a vu avec Nine, Ten, et même Eleven dans Vampires of Venice et il s'est montré bien plus cruel envers la Famille de Sang qu'envers Solomon, après tout. Mais comme le reste de l'épisode était de la grosse rigolade, ça surprend un peu. On peut également souligner un regard lourd de sous-entendu envers Amy qui annonce une mauvaise nouvelle, pas vraiment subtil même si ça intrigue.

Un épisode sympa, donc, qui aurait pu être meilleur confié à un autre, peut-être, mais qui est néanmoins divertissant, et c'était son but principal.
potion préparée par Zakath Nath, le Jeudi 13 Septembre 2012, 12:34bouillonnant dans le chaudron "Whoniverse".


Ingrédients :

  Campanita
Campanita
13-09-12
à 22:22

J'ai eu un peu de mal à entrer dedans, mais pour finir, c'était plutôt cool. Même si certains éléments étaient dispensables, ça reste un épisode sympa.

  Zakath-Nath
Zakath-Nath
14-09-12
à 16:38

Re:

Ouais, voilà, c'était sympa.

Par contre, un peu bizarre que le père de Rory ne semble pas se souvenir du Docteur et du TARDIS (où j'ai raté un passage) vu qu'il devait quand même être présent au mariage de son fils à la fin de la saison 5 (même si on ne l'a pas vu, l'acteur n'ayant pas été casté). On nous a fait le coup de la meilleure amie qui n'aime pas les mariage pour justifier après coup dans Let's kill Hitler l'absence de Mel, mais tous les gens importants, surtout un des parents pouvaient difficilement faire faux bond.