Les différents amis du Docteur essaient tant bien que mal de lui faire parvenir un message à travers l'espace et le temps: la Pandorica va bientôt s'ouvrir et cela n'augure rien de bon. Le Docteur et Amy finissent par retrouver River à l'époque de l'occupation romaine, près de Stonehenge.

Avec cet épisode, on entre de plein pieds dans le grand final orchestré par Steven Moffat pour cette première saison comme shworunner. Naturellement, avec une première partie, il est difficile d'avoir un jugement définitif, mais on peut déjà confirmer une volonté de raccorder les intrigues de la saison bien davantage que du temps de son prédecesseur, qui s'amusait plutôt à cacher un élément important récurrent au long des épisodes pour mieux le faire exploser dans la dernière ligne droite.

L'épisode est donc fort riche, on ne cesse de croiser des personnages connus, amis ou ennemis, et le rythme est beaucoup plus soutenu et épique. Surtout, la situation ne cesse de se retourner, confirmant certaines choses (quelque chose cloche du côté de Amy, mais quoi exactement) ou nous surprenant (je savais que Rory allait revenir... mais pas vraiment). Et enfin, Murray Gold, plutôt absent depuis le troisième épisode, arrive à donner sa pleine mesure.

L'épisode se clôt sur un cliffhanger énorme (au moins égal à celui de la fin de la saison 3, avec un Docteur totalement impuissant) et une alliance de méchants qui pour une fois, cherchent plus à sauver leur univers qu'à conquérir et détruire. mais tout ce beau monde se fait manipuler, c'est certain. Reste à savoir par qui: la voix qu'on entend dans le TARDIS, s'il faut l'associer à un personnage connu de la nouvelle série, ressemblerait le plus à celle de Davros, mais je n'y crois pas vraiment. Vivement la semaine prochaine!