1813. L'Angleterre n'en a pas encore fini avec Napoléon malgré les succès de Wellington, et sur mer, la guerre contre les États-Unis continuent de faire rage. C'est dans ces conditions que Bolitho est envoyé à Halifax.

J'ai été la première étonnée, après les derniers volumes en date, de ne pas être agacée par celui-ci. Pourtant, on en est toujours au même point, mais je ne sais pas, Kent semblait avoir mis la pédale douce sur l'admiration profonde qu'on voue à Bolitho et Katherine (c'est là mais moins souvent sur le tapis? Exprimé avec plus de sobriété?) et si on se penche encore à loisir sur les sentiments amoureux des uns et des autres, c'était beaucoup moins lourd.

En dehors de ça rien de bien palpitant mais au point où j'en étais ce léger mieux a été plus que bienvenue et l'emporte sur le manque d'événements mémorables. Espérons que le prochain tome ne montrera pas une nouvelle rechute, histoire que les adieux à Richard, dont je n'attends plus qu'ils soient réussis, ne soient tout de même pas trop un soulagement.