Où suis-je?

Bienvenue sur ce blog consacré à un peu tout et n'importe quoi, mais où il sera principalement question de: Harry Potter et la fantasy en général, de romans d'aventures maritimes, de littérature, de séries télés (majoritairement des productions britanniques, mais pas que) et de cinéma!


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La Machine de Lord Kelvin
Langdon St Ives perd sa fiancée Alice, tuée par l'infâme docteur Narbondo qu'il poursuivait. Trois ans plus tard, les deux hommes s'affrontent de nouveau autour d'une machine créée par Lord Kelvin, qui permettrait au premier de sauver Alice, à mettre le monde à sac pour le second.

Ayant adoré Les Contes de l'Oriel de James P. Blaylock dans mon adolescence, j'avais profité de la Grosse Op de Bragelonne l'année précédente pour me procurer Homunculus du même auteur, qui se trouve être un des pionniers du mouvement steampunk. Malheureusement, le roman m'avait déçue, car en dépit ou à cause d'un rythme soutenu, je n'étais jamais entrée dedans et ne m'étais pas sentie concernée par les aventures de sa galerie de personnages haut-en-couleur.

Ne me décourageant cependant pas, au cours de la Grosse Op suivante, j'ai tout de même acquis la suite, La Machine de Lord Kelvin. En fait, il se trouve que je l'avais déjà lu peu après avoir découvert Les Contes de l'Oriel, dans la précédente édition chez Rivages, empruntée à la bibliothèque. Je n'en avais qu'un vague souvenir, celle du prologue et du passé de Narbondo, autant dire que c'est comme si je redécouvrais le bouquin.

Tout ce 3615 My Life pour conclure que je n'ai hélas pas plus adhéré à ce tome qu'au précédent, plus ou moins pour les mêmes raisons.

Encore une fois, on croise des personnages excentriques, certains connus comme les horribles Pule, d'autres nouveaux, certaines répliques sont savoureuses et l'intrigue est menée tambour battant, mais l'ensemble est décousu et finalement plutôt confus, ce qui fait que l'on risque de rester à la porte, comme c'est mon cas. Par moment l'émotion affleure avec St Ives pas mal éprouvé par la perte tragique ou la brève plongée dans l'enfance de Narbondo, mais il n'y a pas vraiment de point d'attache et on suit donc les péripéties avec de plus en plus d'indifférence. C'est bien dommage.
potion préparée par Zakath Nath, le Samedi 7 Octobre 2017, 16:16bouillonnant dans le chaudron "Fantasy".