Où suis-je?

Bienvenue sur ce blog consacré à un peu tout et n'importe quoi, mais où il sera principalement question de: Harry Potter et la fantasy en général, de romans d'aventures maritimes, de littérature, de séries télés (majoritairement des productions britanniques, mais pas que) et de cinéma!


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The End of Time, deuxième partie

Le Maître est revenu en force, et a quasiment éradiqué l'espèce humaine, la remplaçant par des clones de sa petite et malfaisante personne. Le Docteur et Wilf sont entre ses mains, et les souvenirs de Donna remontent à la surface, menaçant de la tuer. Eh bien vous savez quoi? Tout ceci est bien secondaire par rapport à ce qui est sur le point de revenir.

Et voilà, le dernier épisode de David Tennant dans le rôle du Docteur, les adieux à Ten. Pour un tel événement, on aimerait que tout soit parfait. Autant le dire immédiatement, tout n'est pas parfait. Évacuons directement les choses qui fâchent: quelques facilités (après tout le foin qu'on a fait sur le risque que courait Donna si elle se souvenait de ses aventures avec le Docteur... Pas grand chose. Le problème des clones du Maître vite réglé aussi), un côté un peu brouillon (mais ça c'est peut-être que sans sous-titres je n'ai pas tout compris) et précipité.

Mais au final, ça marche. Ça marche grâce à l'émotion suscitée, et grâce à quatre grands acteurs: David Tennant, John Simm, Bernard Cribbins et dans une moindre mesure car il est sous-exploité, Timothy Dalton.

On découvre la vérité sur Gallifrey, sur la folie du Maître, et toutes les scènes entre celui-ci et le Docteur sont merveilleuses. On reverra le Maître, c'est certain, avec ou sans John Simm, mais renouera-t-on avec une si parfaite alchimie? On insiste moins sur les pouvoirs dragonballesque du Maître, et on profite encore plus du jeu d'acteur. Ah, voir passer le personnage du rire maniaque aux larmes, c'est du vrai bonheur. Méchants Time Lords de l'avoir traité ainsi. Je ne sais toujours pas si David Tennant is my Doctor, mais je sais que John Simm is my Master.

Et le retour sur la fameuse Guerre du Temps où l'on se rend compte que la destruction de Gallifrey n'était pas un dommage collatéral pour se débarasser des ignobles Daleks. Les pires ne sont pas ceux qu'on croit.

Enfin, la dernière ligne droite, et les fameux quatre coups: on peut dire qu'on s'est bien fait avoir et encore une fois, quelle émotion! Alors certes, la dernière partie avec la tournée des adieux où tout le monde est casée peut sembler artificielle, rappeler un peu les fausses fin du Retour du Roi... En ce qui me concerne ça a parfaitement marché, et la régénaration est bouleversante. Merveilleuse façon de clore l'ère Russel T. Davies.

Quant à Eleven, difficile de se faire une idée en si peu de temps, mais il promet d'être bien délirant.

Geronimoooooo!

potion préparée par Zakath Nath, le Lundi 4 Janvier 2010, 15:33bouillonnant dans le chaudron "Whoniverse".